1 Juillet 2016
Habituellement, c’est à l’automne que me vient l’envie d’un tapis. Mais cette année, le printemps ayant des airs d’automne, j’ai eu envie d’un petit tapis à balader partout dans la maison et dehors. En effet, l’été est une saison pendant laquelle j’aime particulièrement « retrouver le contact avec le sol » : marcher pieds nus, m’allonger dans l’herbe, m’installer à même le sol pour lire, … qu’il fasse beau ou pas !!! En découvrant le site Sukhi, chez ma copine du Home Challenge Elephant in the room, je me suis dit que ce serait pas mal un tapis en laine pour améliorer le confort nomade et bohème de ma vie estivale.
J’ai d’abord eu envie d’un tapis en boules de feutre pour le confort de la laine de Nouvelle-Zélande et les sensations procurées par les centaines de petites boules qui ont un effet massant sur la voute plantaire. Vraiment en phase avec la tendance, je les aime ronds et colorés pour faire twister la déco et amener de la bonne humeur. Mais pour ce tapis, j’avais plutôt envie d’un style plus nature et plus zen, pour qu’il se fasse plus discret. L’idée était de jouer sur l’effet matière plutôt que sur les couleurs.
Finalement, en parcourant toutes les collections Sukhi, je me suis arrêtée sur les tapis en laine bouclée et notamment le Kabir en gris et ivoire, également en laine de Nouvelle-Zélande. Dans le même esprit que le tapis Stone qui fait partie de la collection Design du Moma à New-York, ses boucles de laine ont l’effet massant qui me plait tant. C’est exactement la sensation des galets sur une plage, la douceur de la laine en plus.
Voilà donc, le Kabir qui a fait son entrée dans mon home sweet home. Il a déjà commencé à se balader dans le séjour pour bénéficier du calme ou dans le couloir pour profiter de la vue sur le jardin. Même si la météo n’était franchement pas au rendez-vous, il est déjà sorti dehors, dans ces cas-là, je le pose sur une palette, ce qui permet de ne pas le salir dessous.
Au fil des journées, je m’y installe pour lire avec un petit thé, pour travailler ou pour mettre du vernis orange sur mes ongles de pieds. Il a même été adopté par mon kid qui s’en sert comme terrain de combat pour ses guerriers.
Et je crois qu’il a déjà trouvé sa place pour l’automne et l’hiver quand je serai un peu moins en mode nomade. Il sera la base d’un petit coin lecture près de la fenêtre.