6 Mai 2019
"Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie."
Le week-end dernier, j'ai décidé de vivre... J'ai passé une excellente soirée avec des amis que je n'avais pas vu depuis longtemps et je me suis couché tard. J'ai pris du temps pour lire le dernier numéro du magazine Ultréïa, une découverte pour moi. J'ai organisé un déjeuner en dernière minute pour pouvoir discuter avec une amie qui m'est très précieuse. Juste après, j'ai pris du temps avec une autre amie dans un salon de thé pour lui souhaiter un bon anniversaire. Il ne manquait que la bougie sur le gâteau. Je me suis occupée de mes plantes, celles de l'intérieur et celles de dehors. J'ai eu envie de me balader dans le marché aux fleurs de Saint-Benoit (petit village à côté de Poitiers), rendez-vous incontournable pour qui aime les jardins... et puis, finalement j'avais froid et je suis rentrée m'installer au coin du feu. J'ai fait la sieste sur le canapé avec les chats à côté de moi.
Bref, j'ai pris le temps de vivre.
Mais, je n'ai pas réussi à vivre et travailler... enfin, si, j'ai travaillé. Un peu. Pas autant qu'il aurait été nécessaire. Du coup, je vous livre aujourd'hui une humeur vivante et condensée parce que je n'ai pas trouvé le temps de faire plus. Mais, je l'espère, toujours aussi inspirante.
"Après mai 68, il y a une inversion de valeurs chez les Shadoks" - Parce que j'apprécie autant leur humour absurde et surréaliste que leur philosophie du bon sens.
Les nouveaux habitants - Parce que c'est souvent comme ça, parce que ça devrait toujours être comme ça.
Villeneuve-d'Ascq : Giacometti investit le LaM - Parce que Giacometti fait partie des artistes qui me touchent.
Vivante et ensoleillée.
Toutes les photos sont à retrouver sur mon compte Pinterest.