28 Avril 2017
Je vous parlais dans mon humeur déco du début de semaine de mes envies de changement pour le blog. Eh bien, nous y voilà, je commence aujourd'hui. J'ai envie de vous proposer régulièrement le vendredi des articles un peu plus personnels, et pas seulement sur la déco et le design. J'ai envie de vous parler de mes adresses fétiches, à Poitiers, ma ville, mais pas que. De vous parler aussi de mes lectures, parce que c'est un de mes grands plaisirs, avec la déco, le thé et les amis. Et peut-être d'autres sujets qui viendront au rythme de mes envies.
Et donc, je débute cette nouvelle rubrique sur mes lectures du moment.
J'avais lu fin mars et début avril de délicieux romans : La fille du Gobernator de Paule Constant, L'enfant de Noé d'Eric-Emmanuel Schmitt, formidable plaidoyer pour la tolérance entre les religions, et surtout, Dans la forêt de Jean Helgand. Conseillée par mon libraire, je me suis aventurée dans ce premier roman d'une auteure américaine : l'histoire de deux soeurs, l'histoire d'un pays en déroute, l'histoire d'un retour à la terre. Belle, très belle surprise, que résume très bien cette appréciation en 4ème de couv :
Magnifiquement écrit et profondément émouvant, ce roman livre un message essentiel.
Je n'en suis pas ressortie indemne. J'y ai laissé quelques illusions, emporté des craintes, des doutes ... et des envies.
Impossible derrière un tel roman de me replonger dans une autre histoire. J'ai donc choisi de papillonner d'un livre à l'autre, d'un magazine à l'autre. J'ai picoré des bribes de mots, de phrases, des idées, ici et là. Je commence par les livres :
Bling Blang. Tout s'agite. Tout indicateur décodeur unilatéral brouille l'axe central surfant sur mon système nerveux.
J'implose, retrait des troupes, retour à la case départ
Moi Dedans exploration tournée vers l'intérieur. Environnement sans secret dans mes codes d'accès
Coffre ouvert
Enfin, la mer nous est rendue. Les vents du suroît s'en sont chargés qui ont chassé avec une rudesse précoce les dernières bandes estivales. On aurait dit que l'Océan se vengeait du viol de ses bords par des citadins irrespectueux de sa splendeur. Et volaient les emballages et les papiers gras, par-dessus les dunes, tels des oiseaux malpropres et crevés.
Et puis, il y a les magazines ... Dans une bonne librairie-presse, il faut toujours que je me retienne de ne pas sortir avec 10 magazines. Pour cette fois encore, j'ai résisté ... je me suis contenté de cinq titres !!! Je développe :